Le Réseau santé albertain pilote une étude sur l’état de santé des immigrants francophones en Alberta, dans l’Ouest et les régions éloignées, particulièrement en ce qui a trait à la santé mentale (ex. : traumatisme, impacts relationnels, abus de substance, suicide), les maladies chroniques et les déterminants de la santé.

Ce projet de recherche sera divisé en deux phases. La première recherche s’étalera sur trois ans (2020 à 2023) et tracera un portait global de l’état de santé des immigrants francophones de l’Alberta, de la Saskatchewan, du Yukon, des Territoires du Nord-Ouest, du Nunavut et de Terre-Neuve-et-Labrador. Durant la phase 2 (2023 à 2025), de plus petits projets de recherches seront menés afin d’étudier de façon plus précise certains résultats obtenus de la première recherche.

Nos partenaires

L’équipe de recherche de la phase 1 (3 ans)

L’équipe principale de recherche est basée au Campus Saint-Jean. Elle est formée des personnes suivantes :

  • Chercheur principal : Boniface Bahi, Ph. D, Campus Saint-Jean (Université de l’Alberta)
  • Coordonnatrice de projet : Béatrice Murebwayire, Campus Saint-Jean (Université de l’Alberta)
  • Assistants de recherche : 1 étudiant du Campus Saint-Jean (Université de l’Alberta) et 1 étudiant de l’Université de Régina
  • Cochercheurs
    • Andrea MacLeod, Ph. D, Faculty of Rehabilitation Medicine (Université de l’Alberta)
    • Nathalie Piquemal, Ph. D, Faculty of Education (Université du Manitoba)
  • Collaborateurs
    • Denis Vincent, MD
    • Mireille Kamin, MD
    • Lyne Gaudet, MD
    • Michelle Dion, MD

Ce projet de recherche propose d’étudier les besoins en santé des immigrants francophones installés dans les communautés francophones de l’Alberta, de la Saskatchewan, du Yukon, des Territoires du Nord-Ouest, du Nunavut et de Terre-Neuve-et-Labrador. En référence aux déterminants sociaux de la santé et en recourant aux techniques de recherche qualitative, la recherche s’arrêtera sur les pratiques en soins de santé et les inégalités existantes/émergentes, vécues/perçues par ces immigrants. L’analyse de ces inégalités conduit à une étude de la souffrance sociale qui en découle. Les résultats de la recherche permettront aux institutions et aux intervenants de mettre sur pied des réponses culturellement adaptées.